La Suisse a toujours été considérée comme l’un des pays les plus sûrs du monde. Grâce à sa stabilité politique et économique inégalée, elle a toujours été la destination idéale pour les investisseurs du monde entier.
Pourquoi investir dans l’immobilier à Genève
La Suisse possède l’une des économies les plus solides d’Europe, avec un taux de croissance prévu de 1,1 % en 2019 et de 1,4 % en 2020 (un ralentissement certain par rapport aux 2,5 % de 2018, mais qui reste positif si l’on considère d’autres réalités : dans la zone euro, par exemple, la croissance en 2018 s’était arrêtée à 1,8 %).
Parmi les autres statistiques importantes pour le pays, on peut citer le fait qu’il se targue d’avoir le troisième revenu par habitant le plus élevé au monde, à 85 157 dollars (grâce en partie à la présence de géants de l’industrie manufacturière comme Nestlé, Roche, Swatch et Novartis).
La Suisse a également le taux de TVA le plus bas (le taux ordinaire est de 7,7%), une dette publique d’un peu plus de 40% du PIB (en constante diminution) et un taux de chômage de 2,1% (contre 7,5% dans la zone euro), le plus bas de tous les temps.
La sécurité et la monnaie
La sécurité perçue et garantie par la Suisse se reflète dans sa propre monnaie. Ce n’est pas un hasard si le franc a toujours été considéré comme un havre de sécurité, au même titre que l’or.
Le marché immobilier suisse
Le marché immobilier suisse est inégal. Pour s’en rendre compte, il suffit de comparer les zones urbaines comme Genève ou Zürich, où les prix au mètre carré dépassent 10 000 CHF, avec les zones rurales de l’est du pays, où les prix sont inférieurs à 5 000 CHF.
Mesures de protection des bulles
Après 15 ans d’expansion ininterrompue, les prix de l’immobilier montrent des signes de faiblesse en réponse aux politiques entreprises par le gouvernement fédéral pour tenter d’empêcher une éventuelle bulle. Selon les données de la Banque nationale suisse, les prix ont chuté de 1,44 % au premier trimestre 2019.
Un rôle clé a été joué par le renforcement du franc suisse, qui a entraîné une hausse des coûts d’acquisition pour les étrangers, réduisant ainsi la demande. La Lex Koller, une réglementation fédérale qui limite la possibilité d’acquérir des biens immobiliers par des non-résidents pour éviter le risque de bulles comme celles qui se sont produites à Londres ou à Vancouver, contribue également à freiner les investissements étrangers.
Pourcentage élevé de loyers
La particularité de l’immobilier suisse est le pourcentage élevé de personnes vivant dans des logements loués. Dans le pays, seuls 41 % des résidents occupent leur propre propriété, avec des cas extrêmes comme Bâle ou Genève, où la proportion tombe à 16 % et 18 % respectivement. Il est clair que ce seul fait est un facteur crucial dans la demande de biens locatifs et contribue à un marché très stable pour les investisseurs. D’autre part, les rendements locatifs sont très faibles : à Genève et à Zurich, ils se situent entre 2 et 3 % brut.
L’importance d’un partenaire local
Compte tenu des particularités du marché local, il devient essentiel de s’appuyer sur un partenaire local. Basé à Genève, Le Comptoir Belvédères étudie quotidiennement l’offre et la demande immobilière de la région lémanique et redéfinit à sa façon le courtage immobilier en vous proposant un service sur-mesure unique.